Le “pur” vol thermiquePompe = bulle = ascendance = thermique : C’est le déplacement, thermodynamique ou mécanique, d’une parcelle d’air vers une altitude plus élevée. More de relief cest sans ou avec peu de vent.
Cependant il ne faut pas considérer la briseDéplacement horizontal de l’air du à l’activité thermique des basses couches. More thermiquePompe = bulle = ascendance = thermique : C’est le déplacement, thermodynamique ou mécanique, d’une parcelle d’air vers une altitude plus élevée. More et vent séparément, ces deux processus se renforcent, s’affaiblissent ou s’annulent temporairement, et modifient le rendement de la pente. Le vent influence plus la briseDéplacement horizontal de l’air du à l’activité thermique des basses couches. More des petites pentes de moyenne montagne que sur des grands dénivelés des Alpes ou des Pyrénées ou elle est plus puissante.
2.3.2 Force du vent
La météo nous distille des périodes avec ou sans vent, il faut profiter du jeu des bulles, de la briseDéplacement horizontal de l’air du à l’activité thermique des basses couches. More, du vent et des multiple facettes du vol thermiquePompe = bulle = ascendance = thermique : C’est le déplacement, thermodynamique ou mécanique, d’une parcelle d’air vers une altitude plus élevée. More de relief.
- Un petit vent de 5 km/h bien orienté aide l’écoulement de la briseDéplacement horizontal de l’air du à l’activité thermique des basses couches. More et élargit la plage de portance. La briseDéplacement horizontal de l’air du à l’activité thermique des basses couches. More est changeante, elle est encore sous l’influence du cycle thermiquePompe = bulle = ascendance = thermique : C’est le déplacement, thermodynamique ou mécanique, d’une parcelle d’air vers une altitude plus élevée. More de la pente. Dans cette situation la pente est très vivante, la recherche de la bullePompe = bulle = ascendance = thermique : C’est le déplacement, thermodynamique ou mécanique, d’une parcelle d’air vers une altitude plus élevée. More et les déplacement rapides de portance donnent toute sa dimension au vol thermiquePompe = bulle = ascendance = thermique : C’est le déplacement, thermodynamique ou mécanique, d’une parcelle d’air vers une altitude plus élevée. More de relief.
- A plus de 10 km/h de vent la briseDéplacement horizontal de l’air du à l’activité thermique des basses couches. More est plus dilué dans l’écoulement dynamique du vent : la pente, moins perturbée par les passages de thermiques, porte en permanence et seul un gros thermiquePompe = bulle = ascendance = thermique : C’est le déplacement, thermodynamique ou mécanique, d’une parcelle d’air vers une altitude plus élevée. More peut la ralentir. Ce n’est pas du temps pour ”gratter”, cela devient plus du vol de pente dynamique, je monte alors un planeur de voltige.
2.2.3 Direction du vent
- Jusqu’à 20° de travers le vent renforce la briseDéplacement horizontal de l’air du à l’activité thermique des basses couches. More sans beaucoup perturber son écoulement.
- À plus de 30° de travers et de 5 km/h, le vent frictionne le tapis roulant, la briseDéplacement horizontal de l’air du à l’activité thermique des basses couches. More est écrasée, les zones de cisaillement se multiplient sur tout le profil de la pente, la portance est irrégulière et turbulente. Suivant la forme de la pente, avec un bon profil de tremplin, l’exposition de ses irrégularités au soleil et au ventEn vol à vue l’expression au vent s’utilise pour situer un objet dans l’espace en indiquant qu’il se trouve du côté d’où vient le vent par rapport au pilote ; à l’inverse l’expression sous le vent s’utilise pour situer un objet dans l’espace en indiquant qu’il se trouve du côté ou va le vent. More provoque localement des accélérations de portance étroites intéressantes à exploiter en spirale. (fig.1) Les remontées en spirale serrée parallèle à la pente y sont spectaculaires dans une aérologieCaractéristiques physiques de la masse d’air plus ou moins favorable au développement des ascendances. More ou les descentes au trou sont nombreuses et les remontées plus aléatoires. Dans ces conditions, avec des planeurs purs, j’ai fait d’innombrables vaches pour de petits vols et autant de remontées planeur sur l’épaule ; depuis, avec une motorisation remonte-trou, de courtes phases moteur de quelque secondes pour aider la transitionPhase de vol privilégiant un plus grand déplacement horizontal entre 2 ascendances. More vers la bullePompe = bulle = ascendance = thermique : C’est le déplacement, thermodynamique ou mécanique, d’une parcelle d’air vers une altitude plus élevée. More, comme les milans de la pente qui donnent quelques battements d’aile, on peut faire durer ; ça évite quelques suées mais c’est moins bon pour la ligne.
Un planeur vif et maniable comme l’Orion motorisé de 2,4 m fait alors merveille !

fig.1 La forme de la pente et l’effet venturi : cette situation est plus difficile donc très intéressante. Le thermiquePompe = bulle = ascendance = thermique : C’est le déplacement, thermodynamique ou mécanique, d’une parcelle d’air vers une altitude plus élevée. More est couché dans l’accélération locale de la briseDéplacement horizontal de l’air du à l’activité thermique des basses couches. More et son noyau est étroit.
- La briseDéplacement horizontal de l’air du à l’activité thermique des basses couches. More peut encore fonctionner malgré un léger vent gradient contraire.
On trouve sur cette petite pente des réservoirs de chaleur à la fois bien exposés au soleil et abrités du vent propices à de joli déclenchements de bulles ; cependant les 150m de dénivelé ne suffisent pas à générer une faible briseDéplacement horizontal de l’air du à l’activité thermique des basses couches. More régulière et si par moments elle parvient à s’installer elle peut être chassée à tout moment par le vent du gradient contraire : dans ces conditions d’affrontement cyclique, une bullePompe = bulle = ascendance = thermique : C’est le déplacement, thermodynamique ou mécanique, d’une parcelle d’air vers une altitude plus élevée. More trop faible se désagrégerait sous la zone de cisaillement entre vent et briseDéplacement horizontal de l’air du à l’activité thermique des basses couches. More. (fig.2)
Les dé-gueulantes sont larges, les descentes au trou fréquentes, les remontées en allant chercher les bulles étroites et turbulentes sur le pied de la pente sont plus longues et compliquées… le cycle thermiquePompe = bulle = ascendance = thermique : C’est le déplacement, thermodynamique ou mécanique, d’une parcelle d’air vers une altitude plus élevée. More est haché, la pente piégeuse.
Par moments le planeur pourra exploiter le développement de bulles assez puissantes pour repousser le vent gradient en altitude et se développer dans un air plus froid qui les renforce ; mais il montera difficilement au-dessus du seuil de pente.
La plus grande partie du vol s’effectue sous le seuil de pente, c’est une situation de vol risquée et sans moteur la probabilité de poser au trou augmente. Avec le possible recours au moteur ça devient très intéressant !

En cours de journée la briseDéplacement horizontal de l’air du à l’activité thermique des basses couches. More se renforce peu à peu, les forces s’équilibrent et la portance se la pente se développe plus haut (fig.3&4), la briseDéplacement horizontal de l’air du à l’activité thermique des basses couches. More contient le vent. Les bulles de la vallée convergent vers celles qui déclenchent sur le champ de blé moissonné du plateau et se rejoignent par moment dans un thermiquePompe = bulle = ascendance = thermique : C’est le déplacement, thermodynamique ou mécanique, d’une parcelle d’air vers une altitude plus élevée. More large qui coiffe toute la crête.


Vol du 7 juillet 2020 de 9h à 10h30, heure solaire ou les Vautours prennent leur vol. J’espère les retrouver sur cette pente qui leur sert de tremplin du matin, il n’est pas rare de les rencontrer bas et de spiralerTrajectoire circulaire suivie par le planeur pour rester à l’intérieur d’une ascendance thermique More avec eux dans les premières bulles de la journée.
Le vol débute dans le premier souffle d’une brise intermittente naissante, les déclenchements de bulles de la pente permettent au planeur de “survivre” sans pouvoir dépasser la hauteur du seuil de pente comme sur la fig.2. Le vent gradient contraire désagrège les bulles à hauteur du seuil et j’aurai besoin de 4 coups de 10 secondes de moteur pour éviter la vache, le fond d’un trou n’est pas posable. Le vol continue en attendant mieux : la convection se renforce à 10h, le pennonAppelé aussi streamer en anglais, il complète l’information du fil de laine fixé à l’antenne postiche de la radio, c’et la manche à air du modéliste :
• attaché à une branche sous le seuil de pente il indique à son emplacement la direction et la force de la brise ,
• en plaine placé à distance en divers endroits plusieurs pennons permettent de suivre les variations localisées de la brise.
More placé en contre-bas s’anime régulièrement et le cycle thermiquePompe = bulle = ascendance = thermique : C’est le déplacement, thermodynamique ou mécanique, d’une parcelle d’air vers une altitude plus élevée. More de la pente permet de remonter en spirale à 100m au-dessus du seuil comme sur les fig.3&4. A partir de ce moment le moteur ne sera plus utilisé, chaque descente au trou sera suivie de remontée franche et d’un plafond qui ne cesse de monter.
La patrouille de vautours est passée haut à 10h, seul un retardataire a spiralé paresseusement avec le supraPlaneur thermique F3J de 3.40m conçu par Mark Drela dont les plans sont disponibles ici More pendant 20 mn. Il y a une similitude entre vautour et planeur piloté à vue : ils attendent les thermiques pour décoller, rechignent à mettre le moteur (quelques battements d’aile dans la pétole) et tous ne sont pas aussi doués pour la spirale !


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Andre Rhttps://www.finesseplus.org/author/artt49/
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