Voler sur le dos affute le ressenti. L’assiette du planeur est moins évidente à visualiser que sur le ventre et le pilote doit aussi créer de nouveaux automatismes. Le sens des manches de profondeur et de direction s’inverse : il faut pousser sur le manche de profondeur pour cabrer (avec le pouce sous le manche), orienter la dérive vers l’extérieur du virage, l’usage des ailerons ne change pas.